mercredi 1 janvier 2014

Petit morceaux "à croquer", ou passages choisis entre Ethan et Merit des "Vampires de Chicago"


Voici un petit panel de passages délectables que j'ai relevé pour vous dans le tome 7 des "Vampires de Chicago"

Couverture de Les Vampires de Chicago, Tome 7 : Permis de mordre


-Sans vouloir te manquer de respect, une Aston Martin toute neuve ne te convenait pas ? C’est la voiture de James Bond !
-Je ne suis pas James Bond, rétorqua-t-il d’un ton malicieux. J’adorais ma Mercedes. Elle m’allait très bien. L’Aston… ne m’allait pas.
-Alors tu l’as échangée ? conclu-je avant d’ouvrir ma portière ? Est-ce que tu traites tes petites amis de la même façon ?
- Oui, confirma Ethan avec gravité ; Et j’ai passé quatre cent ans à faire des essais avant de te rencontrer.
C’était grâce à des commentaires comme celui-là que je restais avec Ethan, alors qu’il pouvait se montrer insupportable. Il en laissait filtrait juste assez dans la conversation pour me faire fondre.

Chloé Neill, Les vampires de Chicago, tome 7, p.45




Lorsqu’un tonnerre d’applaudissements retentit sur la galerie, je me penchai par-dessus la balustrade pour observer Ethan pénétrer dans la salle, vêtu d’un Kimono noir fermé par une ceinture à la taille. Pieds nus, il avait noué ses cheveux sur la nuque à l’exception d’une mèche blonde qui lui retombait sur le visage.
Une bouffée de fierté m’envahit. Cet homme qui irradiait la puissance et l’assurance était tout à moi.
-Franchement, bien joué, chuchota Linsey à mon intention.
-Oui, hein ?
Une fois sur le tatami, Ethan sautilla sur la pointe des pieds, les bras tendus au-dessus de sa tête, tout en me cherchant du regard sur le balcon d’une manière assez peu discrète. Quand nos yeux se croisèrent, je lui adressai un clin d’œil en signe de soutien.
-Ecrase-le, grand fauve, l’encourageai-je par télépathie.
-Tu ne devrais pas être en train de travailler ? répliqua-t-il.
-Si. Mais le monde extérieur me déprime ; j’ai bien besoin d’une distraction. Allez, vas-y, impressionne-moi, maintenant.

Chloé Neill, Les vampires de Chicago, tome 7, p.137-138




Bien entendu, avant de le suivre, je pris le temps de partager le scoop de la soirée avec Mallory en lui envoyant un bref texto : « Ethan mange toast avec fourchette .»
Il lui fallut un moment pour répondre : « Dark Sullivan = play-boy prétentieux. »
Franchement, je ne pouvais pas la contredire. Et j’adorais reprendre mes conversations avec elle.

Chloé Neill, Les vampires de Chicago, tome 7

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